Le Cabaret courant faible propose à des artistes liés aux arts visuels, peintres, sculpteurs, photographes, etc., ainsi qu’à des théoriciens, de créer des numéros, ces numéros pouvant aussi faire appel à d’autres disciplines rappelant le cabaret : théâtre, danse, chant…
Le cabaret est pensé à la fois comme un lieu d’amusement, d’art et de politique, un lieu pour les courants faibles, pour des manifestations en divergence avec les courants forts de la culture actuelle.
Lors des dernières décennies l’art contemporain est devenu une industrie culturelle, se diffusant dans un circuit de centres d’art, de biennales et de galeries à l’échelle internationale. Cette industrie culturelle produit un courant dominant, dont le langage résonne avec la pensée de l’élite néo-libérale ou trans-humaine.
A l’écart de ce mainstream artistique, nous pensons que se tiennent de nombreux artistes qui expérimentent des formes d’expression et de pensée, plus justes, plus chaleureuses etplus simples. Le cabaret souhaite faire exister ce courant faible en créant un espace de reconnaissance entre artistes en différenciation avec les courants forts.
Il est difficile de se reconnaître entre pairs quand nous sommes toujours mis en concurrence. En contraste, le cabaret entend former un espace d’auto-organisation qui tente de proposer des formats de présentations égalitaires, sans curateur et où les artistes
ont la parole. Nous cherchons aussi à limiter autant que possible la course à la visibilité et à la notoriété pour lui préférer une certaine discrétion.
Le cabaret courant faible est un projet mené avec Nicolas Guillemin : mondesheureux.net
Le cabaret est pensé à la fois comme un lieu d’amusement, d’art et de politique, un lieu pour les courants faibles, pour des manifestations en divergence avec les courants forts de la culture actuelle.
Lors des dernières décennies l’art contemporain est devenu une industrie culturelle, se diffusant dans un circuit de centres d’art, de biennales et de galeries à l’échelle internationale. Cette industrie culturelle produit un courant dominant, dont le langage résonne avec la pensée de l’élite néo-libérale ou trans-humaine.
A l’écart de ce mainstream artistique, nous pensons que se tiennent de nombreux artistes qui expérimentent des formes d’expression et de pensée, plus justes, plus chaleureuses etplus simples. Le cabaret souhaite faire exister ce courant faible en créant un espace de reconnaissance entre artistes en différenciation avec les courants forts.
Il est difficile de se reconnaître entre pairs quand nous sommes toujours mis en concurrence. En contraste, le cabaret entend former un espace d’auto-organisation qui tente de proposer des formats de présentations égalitaires, sans curateur et où les artistes
ont la parole. Nous cherchons aussi à limiter autant que possible la course à la visibilité et à la notoriété pour lui préférer une certaine discrétion.
Le cabaret courant faible est un projet mené avec Nicolas Guillemin : mondesheureux.net


Mio Hanaoka

Elsa Lefebvre

Jihyé Jung & Emmanuel Eggermont

David Duvshani et Nicolas Guillemin, avec la participation d’Elsa Lefebvre
Nil Dinç

Valentin Lewandovski